jeudi 26 mars 2015

Verdict

Je suis allé chez le médecin pour connaître les résultats de mes rayons-X... C'est un peu décevant, je dois l'avoué. Ça a pris 3 minutes, seulement.

Personne ne peut rien faire, je suis pris avec des maux de dos à vie. Ma colonne est parfaite, elle n'est pas usée, mes vertèbres ne sont pas déplacés, rien! Je fais attention à ma posture, j'étais content d'entendre que ça marchait bien: la plupart des problèmes de colonne qu'ont les jeunes de ma génération, ne m'affectent pas et je continue de faire attention.

Au lieu de cela, c'est un problème de naissance, que j'ai. Ma cinquième vertèbre lombaire (la dernière de la colonne, en bas du dos) est fusionnée avec mon "sacrum"... Donc ma quatrième vertèbre, juste au dessus ainsi que les autres qui la suivent sont soumises à beaucoup plus de tension lors de chacun de mes mouvements et cela cause de la douleur.

Il n'y a donc rien à faire pour réduire cela. Si j'ai trop mal je dois me rabattre sur les Advils ou les Tylenols.


dimanche 22 mars 2015

Parfois...

Parfois, je repense à ce que cette personne m'a dite. Je me demande parfois si elle n'est pas mieux ainsi, si comme elle le disait, c'était tout ce qu'elle avait toujours désiré... Parfois je me dis que c'est bien pour elle et j'en suis heureux. D'autres fois je me maudis de l'aimer et d'espérer la revoir. Parfois je m'imagine ce que ce serait de pouvoir la retrouver et ce que ce serait d'aller de nouveau faire des choses en sa compagnie. Parfois je me demande si quelqu'un saura la remplacer, si je saurais l'oublier. Parfois, elle me manque tellement que j'en ai mal. Parfois, le passé me rattrape. Parfois je me demande pourquoi c'en est arrivé là. Parfois je trouve cela ridicule. Parfois, je me demande si je suis quelqu'un. 
Mais à toutes ces fois, je n'ai pas de réponse.
Parfois, j'imagine le futur. Mais jamais elle n'est absente. 
C'est là qu'est puisé mon espoir, je crois. Dans ces images imaginaires et dans les souvenirs que j'ai du passé. 

C'est étrange, non? Sans m'en rendre compte, je pouvais m'imaginer un futur sans la personne avec qui j'étais en couple, mais je n'ai jamais pu m'imaginer un futur sans la présence de cette si chère personne... C'est illogique. Je ne comprend pas. 

samedi 21 mars 2015

Tatouage? (Suite)

Cela n'est-il pas mieux? Ou encore sans les feuilles derrière..? Hum. 
Ce n'est pas que ton opinion qui m'a fait rajouter quelque chose, lecteur Anonyme.
Si cela t'inquiète.


vendredi 20 mars 2015

Tout et rien

L'autre jour, j'ai mentionné que je ne trouvais pas l'intérêt d'écrire pour écrire. Malgré tout, le rythme des articles n'a pas diminué..? Sachez que c'est car ce que j'écris, ces petites réflexions, ça me tente de les écrire. Ce ne sont plus non plus des souvenirs du passé, si l'on remarque.

Ensuite, ce matin j'ai encore été pris de désespoir à cause d'une question d'ordre existentielle: Qui suis-je, moi, pour me croire être important? J'ai encore ce genre de "rechute"... Il va falloir que je me reprenne. J'ai hâte que le soleil ce lève ce matin.

Le gars à côté de moi, dans le bus, sent la moutarde. C'est étonnant. Et pas très agréable, pour moi, étant donné que je n'aime pas cet aliment. Pourquoi j'écris ça? Car c'est la première fois que je sens ça sur quelqu'un, c'est tout.

J'avais un autre truc à dire... C'était quoi encore? Ça ne devait pas être si important si je ne m'en rappel pas!

Ah! Ça me revient. C'était effectivement peu important. ^^ Je voulais simplement dire que :
Mardi: Éducation physique, Badminton
Mercredi: Gym, Entraînement
Jeudi: Travail, courrier dans tout les sens comme une poule pas de tête
Vendredi: Souper pour la fête à la belle-mère d'une amie de la famille..? Je crois. ._.
Samedi: Travail, courrier dans tout les sens... Etc.
Donc, on est rendu à vendredi. J'ai mal partout! Tellement mal! J'ai mal jusqu'aux paumes de mes mains! ._. >.< C'est pour dire! Et c'est même pas terminé! Un massage ferait du bien , je dois bien l'avouer.

jeudi 19 mars 2015

Bélize

L'hiver prochain, j'ai la possibilité de faire un voyage au Bélize. Je n'avais jamais entendu parlé de cet endroit avant l'autre jour... Mais au vu des photos que j'ai vu, je crois que je vais y aller... Le coût s'élève à environ 2 500 dollars canadiens. Plusieurs subventions nous serons peut-être donné, ça réduirait donc le coût et on pourrait faire des campagnes de financement, en plus! Ça m'arrangerait, personnellement. J'aurais préféré faire un voyage... En Europe. Mais bon, ce n'est pas nous qui décidions de l'endroit! Et nous avions le choix entre le Bélize et le Pérou. Le Bélize a fait l'unanimité du programme. 
Oui, même si je change de programme la session prochaine, je vais pouvoir y aller quand même. 

Des encres et la vie


La vie est étrange, parfois. Elle peut nous faire patienter pendant des mois, ou elle peut s'occuper de notre cas dès qu'on en a besoin. 

Cette fois j'ai eu de la chance. Je crois. Alors que j'ai perdu tout mes encrages, que je ne savais plus où j'allais, elle m'a dit « Je vais voir ce que je peux faire, attend un peu! » J'ai trouvé quelques trucs auxquels me raccrocher. Et ça, ça m'a fait du bien. 

C'est étrange, mais ce genre de pensées positives me vient  normalement lorsque je parle au vent, pour ne pas dire à moi-même, lorsque je marche dehors. Quand je rentre, la "réalité", les banalités de la vie l'assaillent à nouveau et ça fait fuir mon état d'esprit optimiste, il part de cacher. 

Dans ces moments où je peux parler seul, je vois mes malheurs comme des défis auxquels je dis « Vous allez voir, je suis plus fort que ça. »
Cette pensée, par contre, ne me vient pas qu'à ces moments là. Elle me vient dès que je crois que je n'en peux plus. Lorsque j'ai le sentiment d'être à bout et que je vais abandonner, je me dis que je suis plus fort que ça, que je ne peux pas laisser tomber seulement maintenant. Ça a toujours marché. Je suis toujours ici, je m'en suis toujours sorti. 

Ah, ceci n'a pas rapport avec le reste: je me demande comment les gens se mettent en colère.

mercredi 18 mars 2015

Gym

Aujourd’hui je suis allé m’entraîner. Dans un gym et tout.

Il est bien temps de commencer à se mettre en forme. Ça va faire du bien, à long terme. Car pour l’instant, j’ai absolument mal partout! Je suis complètement mort… Et j’ai décidé d’y aller trois jours par semaines, sans compter le cours d’éducation physique de l’école…

Oh là là… Je vais vraiment avoir du mal, au début. >.< J’espère que mon corps va s’habituer rapidement. Je ne pouvais pas avant, pas de temps, etc… Je n’avais pas non plus vraiment le goût. Être tout seul pour faire cela n’avait pas de sens. Enfin, ici je ne suis pas non plus trop accompagné, mais j’ai trouvé un but qui vaut la peine.


J’espère que ce but, et donc la motivation, restera. 

lundi 16 mars 2015

Tatouage?

Rien n'est décidé mais possiblement un futur tatouage... Sans la signature. 
Où serait-il le mieux? 


samedi 14 mars 2015

Ça VS Surmoi, enjeu: comportement du Moi

Je doute, je doute tellement. Je ne vois pas l'intérêt. Je ne suis aucunement soulager d'écrire plus souvent sur ce blog. 

Car oui, le temps n'est pas encore venu. Rien ne dit s'il viendra. C'est triste de dire ça, mais je ne crois pas qu'il viendra tant et aussi longtemps que sa situation sera ainsi: certains sont trop bornés. Et de toute façon, je me met à douter aussi de moi. Est-ce que je voudrai revenir après tout ça? 

Rien ne sera plus pareil, les comportements devront changer si l'autre est toujours dans le décor, je devrai m'adapter, ne plus être moi. Peut-être que quand elle dira que c'est bon, peut-être que quand je m'informerai de la situation, peut-être que c'est moi qui dirai « Non, le moment n'est pas encore venu. » Ça me ferait un mal de chien de dire ça. Mais ça me ferait autant mal de devoir changer mes comportements et de ne plus être moi seulement pour accommoder quelqu'un qui ne mérite rien de ma part. Je serais trop gentil. D'un autre côté, si tout se mettait en place pour que je puisse revenir et que je ne modifiais aucunement mes comportements, j'ai l'impression qu'une "bête noire" voudrait me mettre à mort et que ça ne causerait que des problèmes à la personne que je désir autant revoir. Alors je ne sais pas.

Et pour cette raison, j'ai un petit désir égoïste qui vient de mon Ça qui se bute aux volontés plus nobles de mon Surmoi. 
Une petite partie de moi, totalement humaine et égoïste, que je m'efforce de taire croit que si tout plantait, ça serait réglé. Je n'aurais plus de raison de me tenir loin puisque ce qui me contraint ainsi ne serait plus là. La partie plus noble de moi, s'oppose en bloc à ce désir. Le Surmoi croit que je devrais tout simplement tout faire pour rendre cette personne qui m'est si précieuse la plus heureuse avec mes pauvres moyens. Si ce qui la rend heureuse n'est pas compatible avec ma présence dans sa vie? Je devrais tout simplement ne pas y être. Le sacrifice. C'est ce que le Surmoi dit. 

J'ai toujours suivi le Surmoi, dans ma vie. Ça ne m'avait apporté que des problèmes, que des peines. Des fiertés d'ordres personnelles, mais jamais rien d'autre, puisque les autres humains ne suivent pas leur surmoi, eux. Je me suis mise de temps en temps à écouter mon Ça. On se sent mieux lorsque nous n'avons pas de scrupules. Mais c'est beaucoup moins "juste" et valorisant, d'après moi. 

Ici, c'est une question beaucoup plus difficile. Je ne suis pas prêt à tout perdre. Je ne sais donc aucunement ce que je devrais penser. Qui je devrais écouter. J'ai encore du temps pour me décider. Face à un conflit de cet ampleur entre mon Ça et mon Surmoi, mon Moi reste tout simplement neutre et le restera aussi longtemps qu'il le faudra pour prendre une décision. Aucune idée de combien de temps ça prendra. 

Mais peu importe qui remportera, j'aurai mal. C'est inévitable, pour cet enjeu. 

Tout cela pour dire que j'ai mal, que je ne sais pas pourquoi je fais tout cela. Pourquoi donner des nouvelles alors que nous, nous n'en recevons pas? Pourquoi attendre quelque chose qui n'arrivera peut-être tout simplement pas? À quoi bon être vivant et avoir des sentiments si personne ne s'en soucis? 

Je ne le sais pas. 

Nous sommes le lendemain!

Nous sommes le lendemain. Tôt, mais quand même. Je suis terriblement triste. Tant... Je ne sais pas, je ne comprend pas pourquoi je suis aussi triste. J'aimerais seulement... Me sentir important. Assez important pour quelqu'un. Pouvoir avoir confiance, pouvoir... Je ne sais pas. Me sentir vivant. Je me sens tout simplement inutile.
Enfin, voici l'annecdote du jour pour rendre cela plus joyeux, si ça change vraiment quelque chose :

Avant Noël, nous avions un cours où c'était du combat. J'avais adoré! Je n'étais pas très bon en boxe, car j'avais déjà fait du karaté: j'avais le réflexe de ramener ma garde à ma hanche au lieu de la garder devant mon visage... Pas très utile. 
Par contre, j'étais intéressant lorsqu'il fallait donner des coups de pieds: J'étais capable d'être précis et de frapper durement. Les autres étudiants ne voulaient pas tenir mon sac à cause qu'ils avaient peur! :( 
Nous avons appris à faire des "roulades de ninjas" comme mon prof les appelait. >.< C'était pour lorsque l'on tombait, pour ne pas se faire mal. Nous pouvions aller d'un bout à l'autre du dojo en roulant. C'était intéressant et assez fun, mais un peu étourdissant! 
On nous a aussi appris plusieurs prises. Comment contrôler le dos ou le torse d'une personne. Personnellement, j'aimais bien alterner mes attaques entre les deux, au bout d'un certain temps ils venaient incapable de protéger les deux parties de leurs corps et je pouvais les attraper.

Car oui, nous avons aussi fait du combat. Un peu de toutes les sortes je crois, mais je préférais le combat au sol. Toujours à genoux ou accroupi, sans coups de poing. Il faut y aller à coup de "je t'agrippe, tu essais de te défaire". 
Mon groupe est principalement constitué de filles... Les gars essaient donc de rester entre eux pour pouvoir bien se défouler... Quand ils doivent se mettre contre une fille ils n'utilisent pas toute leur force et gagne quand même. Sauf pour une fille en question qui leur menait la vie dure! Même en mettant toute leur force contre elle, il arrivait souvent que ce soit marche nulle ou parfois qu'elle arrive quand même à les avoir! Moi-même j'aurais probablement eu de la difficulté, mais je ne suis jamais tombé contre elle. 

Après Noël, nous avons fait du sky de fond, mais disons qu'il y avait assez de côtes pour que ça ressemble à un mix entre fond et alpin... D'ailleurs, moi qui n'aimais pas descendre les côtes car je n'arrivais pas à me contrôler et que je finissais toujours dans le fossé au premier tournant, c'est là-dedans que je me suis le plus amélioré! J'ai pu m'attaquer à la plus haute pente ayant trois virages! Et je l'ai descendu comme à vélo (plus vite qu'à pieds, mais facilement).
Par la suite, nous sommes supposés faire un sport d'intérieur et probablement d'équipe. Par la suite, nous allons faire du Canot pendant une longue journée! J'ai bien hâte. Mais puisque nous ne somme que 15, j'ai bien peur de n'avoir aucun partenaire à mon bord! Ou sinon, ça risque d'être la prof elle-même... Je n'y avais pas pensé. 
Ça risque d'être un peu moins intéressant à raconté si c'est cela. Nous verrons bien! 

vendredi 13 mars 2015

Sauvé?


Je viens de me rappeler d'un rêve que j'ai fait l'autre jour. 
Il était intéressant lui. Je pouvais changer de forme pour une autre qui me permettait de voler. Il y avait un village au bas d'une côte et une falaise infranchissable. Des oiseaux géants le survolait et se posaient parfois sur le haut de la côte. Je me rappel que je volais parfois à leur rencontre. Je n'arrive pas à bien décrire... Vaut mieux montrer dans ce cas. Pardonner ce dessin qui laisse transparaître très peu de talent: je n'ai pas pris le temps de m'appliquer. 


Avant
Après

C'est lors d'un de ces moments, alors que deux personnes du village m'accompagnaient aussi qu'il eut un glissement de terrain. Le village en entier disparut sous l'eau profonde. Une seule petite cabane fut épargnée, c'était une vieille remise, seulement! Beaucoup de gens s'accrochaient à des décombres pour ne pas se noyer. Je voyais tout cela des airs.


Les deux personnes qui m'avaient accompagné s'accrochaient à des troncs d'arbres qui pendaient au dessus du vide. Je repris une forme "terrestre" et j'ai voulu les aidés, mais les oiseaux qui volaient au dessus de nos têtes et qui étaient effrayer par la catastrophe m'ont empêché d'agir : c'était dangereux. Les deux personnes tombèrent à l'eau et je les suivis de près. Ils essayèrent de nager jusqu'à des décombres alors que moi je regardais à la surface depuis l'endroit où j'étais, sous l'eau. Je pris mon autre forme, en me disant que je pourrais voler une fois remonter à la surface, mais même ainsi je continuais de m'éloigner de la surface, je calais...
Je n'arrivais plus à respirer, je savais que c'était terminé. Je n'essayais rien pourtant. Dans tout mes rêves, aussi proche de la mort que je sois, j'essai toujours de me battre. Mais pas dans celui-là. Et c'est en me disant cela que je vis des serres fendre l'eau au dessus de moi et descendre à toute vitesse. Je me suis réveillée juste avant qu'elles ne m'attrapent. Car j'étais mort? Ou car elles m'avaient sauvées? Un oiseau essayait de me remonter? Ou de me manger? Je n'en sais rien.Je ne crois pas qu'il m'était hostile. Mais je ne crois pas que j'ai survécu. C'est tout de même le premier rêve où je suis sur le point de mourir et où un témoin tente quelque chose, normalement ils ne font que me regarder et ne font rien, même si je crie « À l'aide! ». 


jeudi 12 mars 2015

Je n'avais pas prévu de faire cela en me levant....

Oh, je n'en ai pas parlé. Hier je suis allée chez mon médecin. Ce fut une longue marche, en considérant que son bureau est à l'autre bout de la ville... J'y allais pour des douleurs, alors il m'a fait me contorsionné dans tout les sens. -.- Et le seul commentaire qu'il a eu fut « Ouah, tu es souple. » Oui, j'avais déjà  remarqué que j'étais plus souple que la moyenne, et pour mes douleurs? Ah. Je dois aller me faire faire des radiographies. Génial. Je ne pensais pas faire ça aujourd'hui, moi.

Mon papier en main, je me remis en marche! Arrivée dans un centre de radiologie, je montre mon papier et on me dit de m’asseoir. Je poirotte là un bon bout de temps, je suis SEUL dans la salle d'attente! Bref, ça a pris pas mal de temps pour moi tout seul. On vient finalement me chercher, on me donne une genre de jaquette bleu d'hôpital et on me dit « Enlève tout sauf tes bas. Et tes sous-vêtements. » Hum. Je n'avais VRAIMENT pas prévu de faire ça en me levant! Je m'exécute donc et je passe les radiographies. C'était vraiment étrange comme expérience. Quand la machine partait, ça sentait mauvais en plus. Je ne pourrais pas dire qu'est-ce que ça sentait exactement, c'était la première fois que je sentais ça. Mais je n'aimais pas. C'était un peu agressant. Comme peut l'être l'odeur du brûlé. 


Par la suite, je me suis rhabillé et je suis parti. Résultats dans deux semaines. J'ai remarché jusqu'à chez moi! Que c'était loin... Moi qui croyais que j'aurais mon après-midi de libre, je n'ai rien eu!


D'ailleurs, je dois demander congé à mon employeur, j'ai plein de rendez-vous dans deux semaines... >.<   


Je vais essayer d'écrire une anecdote par jours, avant d'aller me coucher. Ça va faire changement des trucs tristes et profond. Et bonne nuit.

mercredi 11 mars 2015

Sujet double!

Je m'intéresserai toujours à certaines personnes.
Certaines questions que je pauses sont toujours en attentes d'une réponse. Je ne les oublies pas.
Ces questions sont des fragments d'une question plus grande qui n'est pas souvent répondue sincèrement. 
Je le sais car moi je répond sincèrement quand on me la pause. Ça crée des malaises. Les gens ne s'y attendent pas, ils s'attendent à la réponse que tout le monde donne.
Cette question c'est « Ça va? » et la réponse attendue est normalement « Oui, et toi? ». C'est un rituel étrange que les gens ont. Ce sont des paroles vide de sens. L'un ne veut pas vraiment savoir, l'autre répond par principe, automatiquement. 
J'aimerais savoir, connaître les réponses. Je ne pause pas de questions dont la réponse ne m'importe pas.
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L'autre sujet, c'est que je commence à travailler demain. J'ai ma formation, ma vrai formation qui commence demain. Je suis assez stressé. Plein de choses à ne pas oublier. Et j'espère être à la hauteur... J'ai lu des choses "à savoir" qui m'ont fait un peu peur, dans les documents.
Enfin. Je vais faire une liste de ce que je dois faire en arrivant au travail:
-Demander un autre pantalon.
-Donner le numéro de téléphone d'urgence pour si je me fais routir le bras.
-Demander où je peux ranger mon sac.
-Demander qui est supposé me "coatcher".
-Respirer/Se calmer/Déstresser.
-Dire que je suis le nouveau. 
-Apprendre.
Hum... Ça semble assez complet. Il faudrait aussi que je révise l'ordre des tâches. Sinon ce sera étrange. 

Bref. Faut que je dorme. Sinon ce sera pire... Je crois. 

C'est la fête! Ou pas...


Un rêve qui date d'à peine quelques jours. À peine. 

Ce rêve-ci se déroulât dans une genre de place semblable à une fête foraine, à un parc d'attraction. Mais c'était comme une ville: il y avait des touristes et d'autres qui vivaient là. Moi j'y vivais. Je faisais le métier de détective, avec un collègue. Cette personne. Nous étions engagés pour toute sorte de choses. Cette fois par contre, il fallait trouver un trésor pour les propriétaires du parc.

Nous sommes partie à sa recherche. Nous l'avons trouvé assez facilement sous un vieux manège en bois. Nous l'avons rapporté à la réserve et l'avons fermé à clef. Nous sommes partis,
Nous avions faim. Elle m'a demandé qu'est-ce que je voulais manger cette fois. Je lui ai dit que je prendrais quelques frites. C'est de cela que j'avais envie. Ça et de l'eau. Je suis allée aux toilettes, lui aussi, nous nous sommes retrouvés à une table avec notre souper. En mangeant nous parlions. Ça faisait du bien, mais c'était bientôt pour s'achever, je le savais. Nous nous sommes levés et nous sommes partis nous coucher. Le lendemain j'arrivais à la réserve très tôt, je l'ouvris et de jeunes touristes entrèrent. Ils me parlèrent et prirent quelques pièces du trésor, majoritairement composé de vieux bijoux. Ils partirent rapidement, je sortais moi aussi derrière eux et je perdis du temps en fermant bien la porte question que nous n'en perdions pas plus. C'est alors que mon collègue arriva. Il s'occupa de quelque chose pendant que je rattrapais les jeunes. Je leur aies expliqué que ces bijoux appartenait à l'endroit, qu'ils ne pouvaient pas les prendre. La veille ils étaient venus et un autre trésor, non réclamé était redistribué. Ils avaient cru que c'était pareil cette fois. Mais ils ne voulaient pas entendre raison. J'ai demandé à mon collègue s'il pouvait m'aider, il était meilleur que moi lorsqu'il était question d'amadouer (des filles). Ils les convainquis de rendre les bijoux. Nous retournions donc à l'entrepôt en laissant les trois jeunes tristes. Je remmerciais mon collègue et je le sentir s'éloigner... Il disparut dans les remous de mon rêve et ce dernier devint un cauchemar, mais un cauchemar psychologique, cette fois... 

mardi 10 mars 2015

La première fois que j'ai travaillé (Deuxième partie)‏

Puisque tu m'as demandé la suite, lecteur Anonyme, je la publie. Elle date, il faut le savoir. Depuis le temps, je me suis améliorée. En espérant que tu l'apprécies!
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Vendredi 22 juillet

8 heures 34 minutes. (Si ce n’est pas plus…)

Nous embarquons dans le géant jaune-orange sur roues et nous partons. Sébastien a repris sa place en tant que conducteur du Cube, quasiment tout le monde est assis dans le fond du bus, Amish nous dit, quelques kilomètres plus loin,  que nous devons remplir un questionnaire. Il nous dit : « Un questionnaire semblable à celui que vous avez eu à remplir au tout début de C-Vert… » Je demande à voix haute pour que tout le monde entendent : « Le paquet de feuille PLATE qu’on devait remplir pour adhérer au programme? » C’est la seule chose que l’on se souvient de ce questionnaire : qu’il était vraiment très plate! Simon a répondu à l’affirmative…

Donc, on remplit le questionnaire dans un bus en marche qui roule sur un chemin plein de bosses et de nids de poules. Imaginez à quoi ressemblaient nos écritures. En tout cas… On a roulé pendant assez longtemps… J’ai regardé ma montre, elle indiquait :

11 heures 44 minutes.

Quand on nous a annoncé que l’on était arrivé à la gare du Petit Train du Nord de Val David. Regard par la fenêtre : condos. Conclusion : on s’est encore perdu. On fait demi-tour, on arrête à La maison bleue (un petit commerce vendant des antiquités), ils nous indiquent comment nous rendre à la gare de la ville. Nous passons une pancarte : Piedmont. Deuxième conclusion : nous somme plus perdu que nous le pensions.

Je décide de manger mon lunch puisque nous en aurons pour un petit bout de temps. On appel des gens pour savoir comment rejoindre les… soixante Montréalais qui nous attendent. On reprend donc l’autoroute dans la direction que nous présumons être la bonne.

Je regarde ma montre quand je vois finalement une pancarte écrit : Val David, Gare le Petit Train du Nord, les aiguilles pointaient :

12 heures 32 minutes.

On était en retard : comme pour donner raison à mes paroles prononcées plus tôt. Sous ordre, on est tous descendu du bus et avons  « aidé » la gang de gras à descendre les vélos du Cube (en fait, on réparait plus les gaffes qu’ils accumulaient!).

Ceux qui n’avaient pas encore mangé mangeaient, les autres discutaient et se crémaient (ce serait dommage d’arrivé au camp avec un coup de soleil!), mais tous, sans exception, cherchaient la moindre parcelle d’ombre pour un peu de fraîcheur.

J’allais aux toilettes, revins, me créma, ignorais les commentaires inutiles de Louis-Éric puis finalement engagea la conversation avec Mélody et Noémie… conversation classée dans : impertinente et futile. Puisque l’on était arrivé en retard, la pause fut de courte durée. On est allé chercher nos bikes que, nous, avions pris le temps de redresser et de placer en rang pour qu’il y ait un semblant d’ordre dans  le groupe C-Nic-L, on les enfourcha (nos vélo), on se tapa un looooong discours et finalement, le premier, celui en tête, de ce peloton de cent jeune, commença à pédaler.

Je roulais en compagnie de No, de Mélo et de Seb.  On dépassât près de soixante-et-quinze jeune… On est quasiment à la tête. Louis-Éric reste toujours près de moi et de Seb : nous parlons d’excursion possible, de projets à peu près réalisable, de rêves de voyage passionnant, de ma morne routine sans plein air…

Il me parla d’une technique… de plusieurs technique, apprise lors de sa dernière expédition dans les rocheuses. Plus bizarre les unes que les autres, deux ont particulièrement retenu mon attention pour leurs utilités (opinion personnelle). La première est une technique de respiration qui refroidie le corps, pour moi qui est une fournaise même en plein milieux de nos froides hivers canadienne, c’est une bénédiction en cette journée de canicule! La deuxième, « Le Guerrier Pacifique », est une technique pour augmenter la capacité physique en se servant de son inconscient… je ne la conseille pas à ceux qui ont des problèmes d’intuition, ou quelque chose comme ça… car, en gros, ça consiste à tomber dans la lune ou carrément à s’endormir!

lundi 9 mars 2015

Lecteur Anonyme

Inconnue? Intéressant.
C'est lors des souffrances que l'inspiration et le besoin d'expression est le plus cuisant, n'est-ce pas?
Lorsque l'on est heureux, un simple sourire suffit.

J'ai lu tout tes commentaires. Jusqu'à maintenant. J'ai été... Étonné. J'aurais moi aussi plusieurs questions en fait.

Mais commençons par des réponses. Oui, la plupart de ces textes sont à propos d'un seul ami. Je n'en ai pas. Ou extrêmement peu (2 ou 3, mais je ne les vois jamais eux non plus). Ce n'est pas un manque de volonté. J'ai plusieurs connaissances, mais les relations superficielles ne m'intéressent que très peu. Et les vraies relations sont rares.

La personne dont je parle, c'est une âme qui m'a énormément marquée. M'a-t-elle abandonné as-tu demandé, lecteur Anonyme..? Disons que tout mon être le croit. Mais l'espoir ne meurt pas. Elle dirait qu'il ne faut pas, que je ne devrais pas croire qu'elle m'abandonne car elle revient toujours. C'est ce qu'elle dirait. Mais c'est difficile de croire lorsque l'on souffre.

Pour les histoires, elles sont vieilles. Je vais y répondre, les mettre à jour, disons. Ce sera plus facile d'écrire en sachant que quelqu'un s'intéresse à la suite! Car j'étais le seul qui les lisait, mais je les connais ces histoires. Ce sont les miennes, après tout.

Tu m'intrigues, lecteur Anonyme. Par tes idées et par le fait que tu t'es ramassé ici.
Mais ne t'en fait pas. Ce n'est pas mauvais. Comme ça a été dit, la curiosité est importante!

Je répondrai mieux un autre jour. C'était un message rapide pour dire que j'apprécie tes commentaires, ils sont pertinent, respectueux et renferment une opinion. J'adore ça. Je ne les oublies pas, je les prend en compte. Ils m'ont fait sourire.
Au plaisir d'en retrouver de nombreux nouveaux, si tu n'oublies pas cet endroit, lecteur Anonyme.