Réagit ©
Isolé
Emprisonné Dans la peur
Dans la solitude
Emmuré
Caché
Dans ton cœur
Sans attitude
Aucune conviction
Aucune combativité
Seulement de la lâcheté
Seulement de l’inaction
Pour survivre
Il ne faut pas suivre
Le mouvement général
Ça ne fait que du mal
Il faut se caractériser
Il faut s’individualiser
Devient quelqu’un
Ne soit pas comme chacun
Aucune conviction
Aucune combativité
Seulement de la lâcheté
Seulement de l’inaction
Pour t’en sortir
Il te faut du caractère
Ou du moins mentir,
En paraître propriétaire
Je ne suis qu’une enfant
Apeurée, en larmoyant
Recroquevillée, en pleurant
Mais seulement en dedans
Aucune conviction
Aucune combativité
Seulement de la lâcheté
Seulement de l’inaction
Le monde n’a pas de pitié
Parait fort pour éviter
De te faire à nouveau casser
Manger ou être mangé
En même temps reste toi-même
Ne met pas un terme
À ton identité :
Ne fait que la renforcer
Avec de la conviction
Avec de la combativité
Sans lâcheté
Avec passion
A. Paré
Qu’ai-je à dire?
Qu’ai-je à écrire?
Comment me prononcer?
Comment m’affirmer?
Ce n’est qu’en parlant
Qu’avec les poèmes d’antan
Ou ceux que j’écris présentement
Que je le peux, en m’exprimant
Écrier ma façon de penser
Quelle soit unique ou clichée
C’est une voix de plus à compter
Maintenant, à vous de trouver
Qu’avez-vous à dire?
Qu’avez-vous à écrire?
Comment vous prononcer?
Comment vous affirmer?
Certains y vont en chantant
D’autres encore en dansant
Quelques-uns en jouant
Mais chacun y va en s’exprimant
Professionnels ou gens qui débutez
Lisez mes paroles ou entendez
Rejoignez toutes ces voix à compter
Ensemble, en chuchotant, nous pouvons crier
Qu’avons-nous à dire?
Qu’avons-nous à écrire?
Comment nous prononcer?
Comment nous affirmer?
A. Paré
C’est ce que je voyais avant, quand j’aimais
Ce n’est plus le cas, tout ça c’est fini
Si vous verriez le monde comme je le vois
Vous trouveriez qu’il est laid, qu’il vous enferme
C’est ce que je vois, il n’y a plus d’espoir je crois
Je n’aime plus, des manipulateurs nous mènent
Si vous verriez le monde comme je le voyais
Vous trouveriez qu’il est amusant, qu’il est conçu
Pour vous, sur mesure, c’est ce que je croyais
Ce n’est plus le cas, tout ça c’est révolu
Si vous verriez le monde comme je le vois
Vous trouveriez qu’il est méchant, qu’il est altéré
Je crois qu’un vrai monde ce n’est pas ça
La bonté spontanée est si rare, c’est la réalité
Si vous verriez le monde comme je le voyais
Vous trouveriez qu’il est parfait, qu’il est valorisé
Par tout ce qui vous entoure, c’est ce que je pensais
Ce n’est plus le cas, tout ça c’est terminé
Si vous verrier le monde comme je le vois
Vous trouveriez qu’il est malhonnête, qu’il est faux
Le monde que je connais est sombre, il n’y a plus de voies
Pour nous en sortir, il n’est pas trop tôt
Vous voyez le monde à votre façon
Que ce soit positif, que ce soit cliché
Je ne vous juge pas, vous êtes votre propre patron
C’est le cas, tout ça n’est pas encore achevé
A. Paré
Larme, cristal de sentiments
En toi seul, toute la tristesse du monde peut être exprimée
En toi seul, toute la joie du monde peut être démontrée
Larme, de l’âme tu es le calmant
Pourquoi donc essayer de mentir?
La larme est là pour me trahir
La larme est là pour me guérir
De tout ce que j’ai pu subir
Alors ne la retenons pas
Il y a une raison à ce qu’elle soit là
Nous seuls savons pourquoi
Et rarement c’est dit
Pourquoi donc essayer de mentir?
La larme est là pour me trahir
La larme est là pour me guérir
De tout ce que j’ai pu subir
A. Paré
Présomptions et trahisons ©
Mon cœur est tombé en panne
Depuis un moment déjà
Chez toi
Il attend d'être recueillit
Pas besoin d'en rajouter
Toi qui n'es pas d'ici
Pour mon cœur déjà fragile
Je t'en prie, ne me laisse pas
Mais ne reviens plus frapper
À ma porte que tu auras endommagée
A. Paré
Au-dessus de nous et au-dessus de tous nos soucis
Au-dessus des plus grands arbres, nous regarde-t-il avec mépris?
Et vous, vous vous inquiétez
De ce que vous pourriez bien porter? »
Les vertes feuilles des plantes du printemps,
La beauté si fragile de la nature, tout simplement
De tout ce qui vous entoure, tout ce qui vit
Croyez-le ou non, vous n’êtes pas seuls ici
Vous n’avez plus rien à faire près de chez moi
Partez et ne revenez que quand vous comprendrai mon tracas
Envers tout ce qui brille, tout ce qui est différent?
Car c’est bien ce qu’il arrive en grandissant
Comment s’exprimer…? ©
Qu’ai-je à dire?
Qu’ai-je à écrire?
Comment me prononcer?
Comment m’affirmer?
Ce n’est qu’en parlant
Qu’avec les poèmes d’antan
Ou ceux que j’écris présentement
Que je le peux, en m’exprimant
Écrier ma façon de penser
Quelle soit unique ou clichée
C’est une voix de plus à compter
Maintenant, à vous de trouver
Qu’avez-vous à dire?
Qu’avez-vous à écrire?
Comment vous prononcer?
Comment vous affirmer?
Certains y vont en chantant
D’autres encore en dansant
Quelques-uns en jouant
Mais chacun y va en s’exprimant
Professionnels ou gens qui débutez
Lisez mes paroles ou entendez
Rejoignez toutes ces voix à compter
Ensemble, en chuchotant, nous pouvons crier
Qu’avons-nous à dire?
Qu’avons-nous à écrire?
Comment nous prononcer?
Comment nous affirmer?
Comment voir le monde…? ©
Si vous
verriez le monde comme je le voyais
Vous
trouveriez qu’il est beau, qu’il est infini C’est ce que je voyais avant, quand j’aimais
Ce n’est plus le cas, tout ça c’est fini
Si vous verriez le monde comme je le vois
Vous trouveriez qu’il est laid, qu’il vous enferme
C’est ce que je vois, il n’y a plus d’espoir je crois
Je n’aime plus, des manipulateurs nous mènent
Si vous verriez le monde comme je le voyais
Vous trouveriez qu’il est amusant, qu’il est conçu
Pour vous, sur mesure, c’est ce que je croyais
Ce n’est plus le cas, tout ça c’est révolu
Si vous verriez le monde comme je le vois
Vous trouveriez qu’il est méchant, qu’il est altéré
Je crois qu’un vrai monde ce n’est pas ça
La bonté spontanée est si rare, c’est la réalité
Si vous verriez le monde comme je le voyais
Vous trouveriez qu’il est parfait, qu’il est valorisé
Par tout ce qui vous entoure, c’est ce que je pensais
Ce n’est plus le cas, tout ça c’est terminé
Si vous verrier le monde comme je le vois
Vous trouveriez qu’il est malhonnête, qu’il est faux
Le monde que je connais est sombre, il n’y a plus de voies
Pour nous en sortir, il n’est pas trop tôt
Vous voyez le monde à votre façon
Que ce soit positif, que ce soit cliché
Je ne vous juge pas, vous êtes votre propre patron
C’est le cas, tout ça n’est pas encore achevé
A. Paré
Larme ©
Larme, cristal de sentiments
En toi seul, toute la tristesse du monde peut être exprimée
En toi seul, toute la joie du monde peut être démontrée
Larme, de l’âme tu es le calmant
Pourquoi donc essayer de mentir?
La larme est là pour me trahir
La larme est là pour me guérir
De tout ce que j’ai pu subir
La larme
soulage le cœur
De toute ses
pires peurs Alors ne la retenons pas
Il y a une raison à ce qu’elle soit là
La larme
coule pour soit
La larme
coule pour autrui Nous seuls savons pourquoi
Et rarement c’est dit
Pourquoi donc essayer de mentir?
La larme est là pour me trahir
La larme est là pour me guérir
De tout ce que j’ai pu subir
Me fais-tu
du charme?
Tu peux
arrêter ça Mon cœur est tombé en panne
Depuis un moment déjà
Tu me
demanderas "Chez qui"?
D'après toi!
Chez toi
Il attend d'être recueillit
Je suis déjà
tombée
Dans ton
panneau Maudit Pas besoin d'en rajouter
Toi qui n'es pas d'ici
Quand tu me
laisseras
Ce n'en sera
que plus difficile Pour mon cœur déjà fragile
Je t'en prie, ne me laisse pas
Si tu veux
reculer
Je
comprendrai Mais ne reviens plus frapper
À ma porte que tu auras endommagée
A. Paré
L'oiseau ©
Quand le bel
oiseau s’élève dans le ciel
Dans celle
atmosphère si lourde, si irréelle Au-dessus de nous et au-dessus de tous nos soucis
Au-dessus des plus grands arbres, nous regarde-t-il avec mépris?
« Il y a la
guerre là-bas,
Il y a la
famine par-là Et vous, vous vous inquiétez
De ce que vous pourriez bien porter? »
Nous ne
prenons plus le temps d’admirer
Un papillon
sur une fleur, un orage qui va éclater, Les vertes feuilles des plantes du printemps,
La beauté si fragile de la nature, tout simplement
Écoutez
votre cœur, votre instinct primal
Fermez vos
yeux, ouvrez vos sens, écoutez le râle De tout ce qui vous entoure, tout ce qui vit
Croyez-le ou non, vous n’êtes pas seuls ici
Enlevez-vous
tout ça de la tête, de votre esprit
Sinon, je
vous le dit, vous en avez bien fini Vous n’avez plus rien à faire près de chez moi
Partez et ne revenez que quand vous comprendrai mon tracas
Pourquoi
perdons-nous cette ouverture d’esprit
Cet
émerveillement qu’ont chaque tout petit Envers tout ce qui brille, tout ce qui est différent?
Car c’est bien ce qu’il arrive en grandissant
A. Paré
Aussi longtemps que je vivrai
Que je serai quelqu’un, je te chérirai
Je n’abandonnerai pas l’idée
De me retrouver à tes côtés
Cela annoncerait le début de mon trépas
Alors je t’en prie, crois-moi
La fidélité est ma seule vérité
Donne-moi le bénéfice de douter :
De l’hiver froid qui a laissé place à une autre saison,
De ces trahisons que si bien nous connaissons
Bien à l’abri des regards de reproche
Nous pourrions enfin être proches
A. Paré
Son Démon, son grand Lucifer
Il l’entraîne irrémédiablement vers l’Enfer
Dans lequel des Neuf Cercles va-t-elle se ramasser?
Pourquoi l’as-tu envoyé entre ses griffes, Yahvé?
Oh grand Satan, pourquoi la faire brûler?
Elle n’est qu’une Mortelle, un corps d’humanité
Pour celle qui ne croyais jamais pouvoir rencontrer
Un être comme lui, un être qui la fait rêver
Elle l’a piégé, elle l’a obligé à parler, à se confier
Il est pris, il est à sa merci, il ne peut plus de défiler
Elle lui a promis de ne jamais le laisser tomber
Lui aussi, leurs relation n’en est que renforcé
A. Paré
Chiens, la meute d’SS ©
La plupart sont sauvages
Bon pour mettre en cage
Tant ils ont la rage
Assez pour faire un carnage
À redevenir humains
Ils sont trop canins
Surtout pour rester
Ils représentent un véritable danger
Vous faites pitié,
Vous faites peur
À ceux qui vous sont supérieurs
Car vous avez-vous-même peur
La plupart sont sauvages
Bon pour mettre en cage
Tant ils ont la rage
Assez pour faire un carnage
Je ne ressens que du mépris
Vous frappez mon ami
Pourquoi, qu’a-t-il dit?
Je m’en souviens, ah oui :
L’insulter, le frapper, le rabaisser?
« Non » est ce que vous diriez
Sont crétin, pas très malins
Ça ne change pas du jour au lendemain
C’est comme d’apprendre le latin :
On en a jusqu’à demain matin
A. Paré
Je ne souhaite pas te l’avouer
Donne-moi une chance ©
Oh! Comme je
puis te le jurer
Toujours je
t’aimeraiAussi longtemps que je vivrai
Que je serai quelqu’un, je te chérirai
De tout mon
cœur,
Jusqu’à ce
que je meursJe n’abandonnerai pas l’idée
De me retrouver à tes côtés
Que tu ne
m’aimes pas,
Que ça ne te
dérange pasCela annoncerait le début de mon trépas
Alors je t’en prie, crois-moi
Je souhaite
te rendre la joie,
Gagner ta
confiance et être avec toiLa fidélité est ma seule vérité
Donne-moi le bénéfice de douter :
Comme le
printemps qui renaît
Cette
relation prendrait le relaiDe l’hiver froid qui a laissé place à une autre saison,
De ces trahisons que si bien nous connaissons
Sur un petit
îlot
Au milieu
d’un ruisseauBien à l’abri des regards de reproche
Nous pourrions enfin être proches
Laisse-moi
une chance de te prouver,
Je te le
jure, que je suis de ton côtéA. Paré
Lumière des Enfers ©
En le
rencontrant, elle s’est condamnée
Inconsciemment,
à devenir DamnéeSon Démon, son grand Lucifer
Il l’entraîne irrémédiablement vers l’Enfer
Tous les Saints
du Ciel, même réunis
Ne
pourraient la sortir de ce piège MauditDans lequel des Neuf Cercles va-t-elle se ramasser?
Pourquoi l’as-tu envoyé entre ses griffes, Yahvé?
Elle prie
les Anges et tous les Archanges
À chaque
fois c’est le Diable qui se dérangeOh grand Satan, pourquoi la faire brûler?
Elle n’est qu’une Mortelle, un corps d’humanité
Le Démon l’a
harpé en écrivant des mots
En chantant
des vérités, rien de trop beauPour celle qui ne croyais jamais pouvoir rencontrer
Un être comme lui, un être qui la fait rêver
Pour elle,
il est aussi rare qu’un soleil de minuit
Pour lui,
qu’est-elle, fille de passage ou ville de vie?Elle l’a piégé, elle l’a obligé à parler, à se confier
Il est pris, il est à sa merci, il ne peut plus de défiler
Le Démon en
question est en fait un Ange
Un ange
blessé, trahi, qui a peur, qui se vengeElle lui a promis de ne jamais le laisser tomber
Lui aussi, leurs relation n’en est que renforcé
A. Paré
J’ai vu des
chiens
Certains
sont crétinsLa plupart sont sauvages
Bon pour mettre en cage
Tant ils ont la rage
Assez pour faire un carnage
Ils tardent
à s’améliorer,
À se
décontaminer, à se laverÀ redevenir humains
Ils sont trop canins
Surtout pour rester
Ils représentent un véritable danger
En vérité
Vous êtes
inférieursVous faites pitié,
Vous faites peur
À ceux qui vous sont supérieurs
Car vous avez-vous-même peur
J’ai vu des
chiens
Certains
sont crétinsLa plupart sont sauvages
Bon pour mettre en cage
Tant ils ont la rage
Assez pour faire un carnage
Je ne ressens que du mépris
Vous frappez mon ami
Pourquoi, qu’a-t-il dit?
Je m’en souviens, ah oui :
« Je suis
habitué »
Aucune honte
d’ainsi le malmener,L’insulter, le frapper, le rabaisser?
« Non » est ce que vous diriez
Vous n’êtes
que des chiens
Des canins
dont certainsSont crétin, pas très malins
Ça ne change pas du jour au lendemain
C’est comme d’apprendre le latin :
On en a jusqu’à demain matin
J’ai vu des
chiens
Certains
sont crétins
La plupart
sont sauvages
Bon pour
mettre en cage
Tant ils ont
la rage
Assez pour faire un carnageA. Paré
Trois strophes ©
Je ne souhaite pas te l’avouer
Mais je ne pense pas pouvoir trouver
La raison de cette triste épopée
Je te jure, j’ai cherché
Mais là j’en ai assez
Je ne trouverai pas, je le sais
Plus ça avance, plus je suis serrée
Là-dedans, je suis coincée
La raison de cette triste épopée
Je te jure, j’ai cherché
Mais là j’en ai assez
Je ne trouverai pas, je le sais
Plus ça avance, plus je suis serrée
Là-dedans, je suis coincée
Devant un mur noir dressé
Je ne sais plus quoi penser
Je ne peux pas reculer
Et il y a toi, d’un autre côté
A. Paré
Je ne sais plus quoi penser
Je ne peux pas reculer
Et il y a toi, d’un autre côté
A. Paré
Ah les bateaux ©
Ah les bateaux
Qui voguent sur l’eau
Ah les bateaux
Qui portent matelots
Ah les bateaux
Qui rentrent au port
Ah les bateaux
Qui viennent du nord
Ah les bateaux
Qui tanguent, timides
Ah les bateaux
Sur cette étendue liquide
A. Paré
Qui voguent sur l’eau
Ah les bateaux
Qui portent matelots
Ah les bateaux
Qui rentrent au port
Ah les bateaux
Qui viennent du nord
Ah les bateaux
Qui tanguent, timides
Ah les bateaux
Sur cette étendue liquide
A. Paré
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