samedi 11 avril 2015

Pourquoi?

Pourquoi m'avoir écrit?
Tu ne devais pas. Il n'était pas encore temps.
Ça fait mal ça.
Écrire pour ne rien dire, au final. Pour dire qu'on ne peut pas écrire. C'est illogique.
Personnellement, ça n'a fait que me rendre triste,

Surtout ce soir, je ne suis pas bien, j'étais déjà triste.
Je dois me reprendre, je dois oublier que tu m'as écris pour ne rien dire, faire comme si.
Allons!

mardi 7 avril 2015

Journée infernale

Aujourd’hui, j’ai envie de raconter ma journée.

Ainsi, pour comprendre ma matinée, je dois parler de ma fin de semaine de Pâques.
Ma mère est allée voir sa famille en Abitibi et mon père est partit voir sa famille en Montérégie. Moi je suis resté chez moi pour Pâques. De superbes vacances tout seul. Tout ceux que je connaissais son partit en dehors de la ville pour voir leur famille.

Je devais rester pour travailler. J’avais comme horaire, dimanche de 20h à 00h. Je n’ai pas l’habitude de me coucher si tard, ainsi, j’étais particulièrement fatigué. Par la suite, à 00h30, environ, je n’avais pas envie de dormir tout de suite. Maintenant que j’étais réveillé! -.- Alors je ne me suis pas endormi avant 03h du matin, le lundi.

Ainsi, hier soir je n’étais pas très fatigué non plus! Mon horloge biologique étant déréglé, je ne me suis pas réveillé à l’heure que j’aurais dû, ce matin. C’est ma mère qui m’a réveillé. >.< J’étais en retard, j’ai manqué 2 autobus, puisque je me suis fait réveillé 1h30 plus tard que la normale. Je suis même arrivé en retard à mon cours… mais le prof n’avait même pas commencé encore commencé la matière du cours! Ma classe a toujours eu de la misère avec le département de philosophie… Le prof parlait de dates. Comme quoi on aurait un « cours » supplémentaire de 5h pour faire des oral car, puisqu’il parle trop de choses pas rapport, on n’avait pas le temps de faire ça en classe. Bref.
Par la suite je suis allé manger avec quelqu’un en donnant quelques infos à une équipe qui avait décidé à la dernière minute de se voir pour faire un travail. Après cela vint le tournois de badminton en simple. Je déteste ça. Mais j’en ai une réelle aversion. J’en ai trop fait les années précédentes, je ne m’amuse plus. Finalement, nous sommes allés en psychologie. Ça a été mieux que le reste de la journée, mais! J’ai (encore) raté mon bus pour le retour! Et ce dernier m’a presque fait manquer mon transfert!


Et maintenant, je suis chez moi, je suis épuisé et je m’ennui énormément. Car je me sens particulièrement seul, ces derniers jours. J’ai beau voir des gens, je ne me sens pas apprécié, et ainsi, je n’ai pas le sentiment d’être… ou plutôt, de ne pas être seul. 

vendredi 3 avril 2015

Un autre rêve.

Il date de la nuit du 24 au 25 mars. Je ne savais pas quoi écrire, alors cela ne me semble pas mauvais comme idée.

Je travaillais dans un magasin du style magasin d'équipement de sports. J'étais dans la section des patins, des skis et tout ça lorsque ça a commencé.

Trois filles sont entrées et se sont mises à regarder partout, Elles sont venues jusque dans le rayon où j'étais, et où j'aidais un monsieur à trouver des patins. Ce dernier était assis sur un banc et en enfilait une paire pour les essayer. Une des filles a pris un bâton de ski, a regardé la pointe et l'a montrée à ses amies. Elle a ensuite poignarder l'homme qui essayait des patins dans le ventre, plusieurs fois. Il était mort. Elle et ses amies on pris leurs bâtons et se sont mises à attaquer d'autres personne.

Celle qui avait poignarder l'homme s'est tournée vers moi et a essayée de m'empaler, mais je me suis tourné au dernier moment pour l'éviter. J'ai moi-même pris un bâton pour me défendre tout en reculant, car je ne voulais pas me battre.

Nous échangions des coups de bâtons comme si c'était des épées. Au fur et à mesure que je reculais dans la rangée de bâton, les simples bâtons de ski devenaient de plus en plus semblable à des lances. Ainsi, lorsque l'un de nous laissait tomber son bâton, il en prenait un nouveau qui semblait encore plus mortel. Arrivé au bout de la rangée en reculant et en échangeant des coups, moi pour me défendre, elle pour me tuer, j'ai pris une dernière lance et je me suis échappé dans "l'arrière boutique".

Du moins, À un endroit où j'étais à l'abris. J'ai déposé la lance près de moi et je me suis mis à l'ordi pour écrire un rapport sur les récents événements. Alors que je faisais cela, une très gentille collègue est passée derrière moi et m'a parlé. J'ai sursauté, je me suis mis rapidement placé d'un autre angle où j'avais davantage de place derrière moi, je me suis remis en position de combat, prêt à me défendre et j'ai grogner. Oui, c'est un peu étrange de se mettre à grogner. Je me sentait menacé, comme si c'était encore la fille qui avait attaqué l'homme. La collègue ne comprenait pas mon comportement...

Je me suis réveillé juste après cela.
D'après vous, qu'est-ce que cela peut vouloir dire? Je crois le savoir, mais bon, je préférais que ce ne soit pas le cas.

PS: Ouah... quelqu'un en Allemagne a lu quelques-uns de mes articles! Ça fait plaisir. :)